GrippeA/H1N1 : Journaliste le plus vieux métier du monde ! : Dossiers SOS JUSTICE

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19/10/2009

GrippeA/H1N1 : Journaliste le plus vieux métier du monde !

Un message émanant du Canada, du scientifique Jean-Jacques Crèvecoeur


Madame, Monsieur,
Chers amis,


Si je vous demande : connaissez-vous le plus vieux métier du monde ?
Vous me répondrez sans doute : « Oui, c’est le métier de prostituée, tout le monde sait cela ! »
À cela, je vous répondrai : « Pas tout à fait ; c’est le métier de journaliste, mais ça revient au même ! »


Dans ces temps troublés de crise autour d’une grippe imaginaire, un groupe de banquiers puissants et de riches influents veulent nous transformer tous en cobayes de laboratoire et en consommateurs forcés d’armes biologiques vaccinales. Aujourd’hui, je veux dédier ce courriel à tous ces journalistes du monde sans qui rien de tout cela ne serait possible. Parce que je suis écoeuré, tout simplement. Je ne ferai pas d’autre commentaire. Ceux parmi vous assez intelligents comprendront par eux-mêmes. Et faites-moi plaisir : envoyez, vous aussi, à tous les journalistes qui exercent le plus vieux métier du monde, ce même courriel.

Cordialement

Jean-Jacques Crèvecoeur
Montréal


David Rockefeller et le Nouvel Ordre Mondial

Tout d’abord, il y a ce discours de David Rockefeller, un des membres les plus influents parmi l’élite qui cherche à mettre en place le Nouvel Ordre Mondial. Si vous pensez que ce sont encore des ragots de conspirationnistes, allez acheter ses mémoires, publiés en 2002. Voici ce qu’il y dit, à la page 405 :

« Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus intégrée ainsi qu’une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si cela est l'accusation, je suis coupable et fier de l’être. »

Lisez attentivement ce discours qu’il a prononcé en juin 1991, lors d’une réunion de la Commission Trilatérale, à Baden Baden :

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l'exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l'autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

John Swinton, rédacteur en chef du New-York Times

À présent, l’autre côté de la médaille. La déclaration faite par le journaliste John Swinton, l’ex-rédacteur en chef du New-York Times, lors d’un banquet donné en son honneur à l’occasion de son départ à la retraite, en réponse à un toast porté à la presse indépendante (cité par Deirde Manifold dans « Towards World Government »). C’était le 25 septembre 1880, et ça n’a toujours pas changé, plus d’un siècle plus tard :

« Quelle folie que de porter un toast à la Presse indépendante !

Chacun, ici présent ce soir, sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais. Il n’y en a pas un parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions, et s’il le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées. Je suis payé 250 $ par semaine pour garder mes vraies opinions en-dehors du journal pour lequel je travaille.

D’autres parmi vous sont payés le même montant pour un travail similaire. Si j’autorisais la publication d’une bonne opinion dans un simple numéro de mon journal, je perdrais mon emploi en moins de 24 heures, à la façon d’Othello.

Cet homme suffisamment fou pour publier la bonne opinion serait bientôt à la rue en train de rechercher un nouvel emploi. La fonction de journaliste est de détruire la vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper aux pieds de l’élite et de se vendre lui-même, de vendre son pays et sa race pour son pain quotidien ou, ce qui revient au même, son salaire. Vous savez cela et je le sais. Quelle folie donc que de porter un toast à la presse indépendante. Nous sommes les outils et les vassaux d’hommes riches qui commandent derrière la scène. Nous sommes leurs marionnettes ; ils tirent les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes.

NOUS SOMMES DES PROSTITUÉS INTELLECTUELS. »

Marc Menant, journaliste à Europe 1

Un dernier commentaire. Tant que je publiais des livres sur les relations, le couple, l’éducation des enfants, la gestion des émotions, le management, j’étais la coqueluche des journalistes de la presse écrite, radiophonique et télévisuelle. Ils se battaient pour obtenir des entrevues avec moi. Ils appelaient eux-mêmes mon éditeur pour savoir si j’avais sorti un nouveau livre, pour pouvoir m’interviewer. Le jour où j’ai commencé à publier des livres sur la santé (Le langage de la guérison – Prenez soin de vous, n’attendez pas que les autres le fassent – éditions Jouvence), livres qui remettaient en cause les vaccins et la cancérologie classique, plus aucune invitation ne me fut adressée. Sauf de la part de Marc Menant (Europe 1) et de Roselyne Fayard (Radio Suisse Romande). Lorsque Marc Menant m’a invité pour parler de mon livre, avant l’émission en direct, il m’a demandé de ne pas dire un mot sur les vaccins, pas un mot sur le docteur Hamer, pas un mot critiquant la médecine moderne ou la cancérologie. Lorsque, de manière provocatrice, je lui ai répondu : « Nous sommes en direct, que se passera-t-il si je le fais quand même ? » Il m’a répondu : « Demain matin, je perds mon emploi. Tout simplement. » Par respect pour lui, j’ai accepté de ne pas parler. Car son but était de promouvoir mon livre pour que les auditeurs reçoivent, malgré la censure, toutes les informations en le lisant. Mais c’est ce jour-là que j’ai eu la preuve que la presse indépendante n’existait pas…

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